Débat sur BFM
BFM Radio organise un débat vendredi prochain de 10h à 11h auquel j'ai été convié.
Le débat est animé par Vincent Giret, directeur adjoint de la rédaction du Parisien-Aujourd'hui en France. Outre ma modeste personne, sont invités Lionel Fontagné, économiste et directeur du CEPII (qui a notamment co-rédigé le rapport Délocalisations, désindustrialisation avec Jean-Hervé Lorenzi publié en 2005 par la Documentation Française) et Jean-Louis Levet (voir notamment une contribution ici), économiste également, responsable du pôle politique industrielle du Centre d'analyse stratégique.
Reste à savoir ce que peut produire "l'enfermement" de trois économistes dans un studio de BFM sur un sujet aussi brûlant !
Bon, pour intéresser le billet, je propose à ceux qui le souhaitent de me dire en quelques mots (deux ou trois phrases, capacité de synthèse exigée!) ce qu'ils répondraient si d'aventures on leur posait la question? non pas que je manque d'argument, ce serait un comble, mais plutôt histoire de sonder ce que les esprits nécessairement brillants qui s'aventurent sur mon blog auraient à dire... Peut-être aurais-je le temps d'en dire un mot vendredi?
Sujet : "Comment lutter contre les délocalisations?"
Le débat est animé par Vincent Giret, directeur adjoint de la rédaction du Parisien-Aujourd'hui en France. Outre ma modeste personne, sont invités Lionel Fontagné, économiste et directeur du CEPII (qui a notamment co-rédigé le rapport Délocalisations, désindustrialisation avec Jean-Hervé Lorenzi publié en 2005 par la Documentation Française) et Jean-Louis Levet (voir notamment une contribution ici), économiste également, responsable du pôle politique industrielle du Centre d'analyse stratégique.
Reste à savoir ce que peut produire "l'enfermement" de trois économistes dans un studio de BFM sur un sujet aussi brûlant !
Bon, pour intéresser le billet, je propose à ceux qui le souhaitent de me dire en quelques mots (deux ou trois phrases, capacité de synthèse exigée!) ce qu'ils répondraient si d'aventures on leur posait la question? non pas que je manque d'argument, ce serait un comble, mais plutôt histoire de sonder ce que les esprits nécessairement brillants qui s'aventurent sur mon blog auraient à dire... Peut-être aurais-je le temps d'en dire un mot vendredi?