Labex, masse critique et autres futilités

Publié le par Olivier Bouba-Olga

Dans la continuité de la publication de la liste des Labex et plus généralement de la politique de la recherche et de l'enseignement supérieur menée en France, voici une tribune co-écrite avec des collègues toulousains spécialistes de sociologie et de géographie des sciences.

Nous avions rédigé cette tribune en réaction aux propos de Jean-François Dhainaut, directeur de l'AERES, dans les Echos. Nous l'avions logiquement proposée aux Echos, qui avaient accepté de la publier sans pouvoir nous dire quand. Comme elle n'a toujours pas été mise en ligne, (no comment) je la publie ici.

Déconcentration de la recherche

Publié dans Recherche

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G
<br /> <br /> Bonjour Olivier<br /> <br /> <br /> Je te rejoins assez largement sur ton analyse (à l'AERES on n'était pas tous favorables à cette compilation de données disparates et à sa publication et pas plus sur son exploitation médiatique)<br /> et je ne suis pas sûr non plus que "big is beautiful". Je te signale néanmoins une erreur, JF Dhainaut n'était pas directeur de l'AERES (il n'y en a pas ou plutôt il y a en trois) mais président<br /> ce qui au delà de la subtilité juridique n'est pas une mince différence.<br /> <br /> <br /> Amicalement<br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> Je me suis toujours demandé ce qu'était un "chercheur A+".... c'est un chercheur qui est dans un labo A+ ? dans une équipe A+ ? <br /> <br /> <br /> <br />
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O
<br /> <br /> les chercheurs ne sont pas (encore) évalués individuellement. Un "chercheur A+" ne peut être qu'un chercheur appartenant à un labo<br /> A+.<br /> <br /> <br /> <br />